CHÌ VULEMU ?
Vulemu cuntribuì à l’ilaburazioni prugrissiva, in Còrsica, d’una sucità bislingua (corsu/francesu).

QUAL’ HÈ CHÌ CUMPONI U CULLITTIVU ?
Hè una adunita di parsoni è ancu d’associa chì si ricunnòscini in a dimarchja di u cullittivu.

COMU AGISCIA ?
1. FÀ à nantu à u tarrenu (veda archivi)
2. DUMANDÀ l’appiigazioni di u nosciu pianu pà a lingua (veda a pitizioni)


Sapenni di più

QUE VOULONS NOUS ?
Nous voulons contribuer à l’élaboration progressive, en Corse, d’une société bilingue (corse/français).

QUI COMPOSE LE COLLECTIF ?
Il s'agit d'un rassemblement de personnes et d’associations qui se reconnaissent dans la démarche du collectif.

COMMENT AGISSONS NOUS ?
1. Nous faisons des actions sur le terrain pour inciter à la pratique du corse (voir archives).
2. Nous demandons l’application de notre plan en faveur de la langue (voir la pétition).

WHAT IS OUR PRUPOSE ?
We’d like to help Corsica become a bilingual society where Corsican and French will be spoken fluently.

WHO ARE WE ?
We are a group of people and associations who agree and work in the same way.

WHAT DO WE DO ?
1. We organize meetings to encourage people to practice the Corsican language (see newspapers articles).
2. We want our plan for the revival of the Corsican language to be put in practise(see our petition).

u 26 d'aprili 2010 : cuminicatu di pettu à a dicisioni di u tribunali amministrativu di Bastìa à nantu à a lingua corsa.


Le tribunal administratif de Bastia, faisant suite à la demande introduite par le préfet de Haute-Corse, a donc annulé la délibération en langue corse du conseil municipal de Galeria.
On pourra toujours dire qu’il s’agit d’une attitude rétrograde. Mais, faut-il en être surpris ? Non ! Car, l’application de l’article de 2 de la constitution française ne pouvait que se traduire par cette conclusion judiciaire. Nous en demandons d’ailleurs depuis longtemps la révision, comme nous demandons la ratification des langues minoritaires.
La récente introduction des langues au sein de la constitution, au travers de l’article 74, n’a pas changé la donne.
Plus graves, à notre sens, sont les motifs développés dans ses conclusions par le tribunal administratif. En affirmant que « la langue française est la langue de l’enseignement, du travail, des échanges, des services publics », le tribunal administratif interprète de façon très restrictive les décisions du conseil constitutionnel et les textes législatifs.
Il contredit la politique mise en place au sein de l’école publique. Dans les filières bilingues, le corse est pourtant bien une langue d’enseignement au même titre que le français.
Il contrarie même l’application du plan de développement de la langue corse adopté par la CTC, et que pour autant nous jugeons insuffisant. Ce plan prévoit par exemple que les communes qui le souhaitent peuvent utiliser la langue corse dans leurs rapports avec les usagers ou encore traduire en corse tous les actes administratifs.
Enfin, préciser que le français est « la langue des échanges », c’est comme qualifier la langue corse d’illégale dans la sphère publique ! Utiliser le corse lors de rencontres, de débats…serait donc illicite !
Cette affaire, démontre une fois de plus que la langue corse, comme toutes les langues minoritaires, a besoin d’une législation adaptée et d’un statut de co-officialité.
Ses rigidités juridiques appartiennent à une autre époque, et, nous entendons bien démontrer que la volonté populaire sera en définitive la plus forte.

u 24 d'aprili 2010 : riunioni di travaddu in Arena Viscuvatu.

Sughjetta trattati :

1. A ghjurnata "Tempi fà, Tempi d'oghji".

2. A Festa Rivindicativa.

3. U scontru cù Ghjuvan Francescu Bernardini

     -> vinutu à u nomu di u gruppu "I Muvrini".

     -> vinutu à u nomu di l'associu pà una Fundazioni di Còrsica.

30 parsoni prisenti.